Etudes de faisabilité

En ce qui concerne les projets de construction, sur site généralement nu, il convient de réaliser une étude préliminaire de faisabilité (mission G12).

Elle permet de découvrir le contexte géologique et géomécanique global du site et de retenir les premières hypothèses de travail pour l’interface sol-structure, soit le type de fondation, la nature du substrat à atteindre et la contrainte admissible par celui-ci.

Les Maîtres d’œuvre, architectes et ingénieurs béton, peuvent alors affiner leur projet. Le dialogue technique s’inscrit ensuite dans la suite des missions géotechniques (G2 à G4), soit du dimensionnement final au suivi de travaux.

Expertises

photoexpertise

Dans le cadre de désordre affectant un existant (bâti ou ouvrage), il convient avant tout type de travaux d’établir un diagnostic géotechnique (mission G5) qui va permettre de reconnaître le contexte géologique et géomécanique et par-delà, les causes des désordres. Généralement : hétérogénéités latérales, présences de remblais, retrait des argiles lié au déficit hydrique, présence de zone décomprimée en profondeur,…

Enfin, la reconnaissance permet de définir les critères techniques et les méthodes de reprise en sous-œuvre pour réparer et pérenniser l’ouvrage.

 

 

Notes techniques et autres prestations

Notes techniques

Assainissement

Nous intervenons parfois dans le cadre de problèmes particuliers qui nécessitent des jugements et des conseils de professionnel.

Ces notes techniques précisent pour le client les réalités géologiques reconnues et leurs implications avec l’environnement (constructions, ouvrages, risque naturel).

Nous pouvons aussi faire des suivis de jauges pour les déformations des bâtiments, de battement de nappes pour les interactions avec les niveaux de fondation.

Nous sommes aussi en partenariat avec un confrère spécialisé dans les études de dimensionnement et contrôles de filières d’assainissement autonome.

Responsabilité

Le bureau d’étude de sol s’engage en responsabilité décennale sur ses préconisations et se doit donc de contrôler les risques techniques en envisageant les risques naturels correspondants à chaque terrain.

Si le risque nul n’existe pas, il convient au bureau d’études d’agir sur le Maître d’Ouvrage (conseiller, préconiser, imposer) afin que le risque soit dominé ou reste dans le domaine considéré comme admissible, soit en fonction de critères techniques, soit au niveau de la tolérance du client lui-même.

Dans le cadre de l’expertise, il s’avère que le risque a déjà été en partie encouru. Le diagnostic géotechnique réagit donc en fonction du sinistre et ne peut qu’envisager des solutions surabondantes par rapport à la structure originelle.

Le risque dans ce cas-là est donc nettement moindre, le problème de sol ayant été en partie analysé.

Dans le cadre des études de faisabilité géotechnique, notre expérience des pathologies des structures nous amènera à correctement prendre en compte les aléas et risques géologiques de chacun des cas d’étude, au niveau de l’acquisition des données sur le terrain et dans le contenu de nos rapports.